lundi 21 janvier 2013

"ATTENTION SCOOP!!! Le jardin sous la neige, vue par Chantal!"


J'espère qu'ils ont mis le chauffage dans les chambres de l’hôtel à insectes!!!



















Chantal a bravé le froid et les loups des steppes pour nous rapporter ces très belles images du jardin sous la neige. EXCEPTIONNEL!!!!

samedi 19 janvier 2013

"Le jardin sous la neige, janvier 2013"




Bien au chaud, dans sa maison.

Les fèves ont froid, mais ne sont pas mortes!





Le verger aussi est tout blanc!

Une trace d'animal sauvage! Un lynx? Un ours? Non, le chat du voisin!....



Le blé sous la neige.





Sur les traces...des moineaux !

Un pique-nique???

mardi 8 janvier 2013

"La bonne année de la part de Chantal, la nouvelle conteuse du jardin!"

Le bisou de la bonne année, sous le gui de Chantal qui l'a accroché au tilleul du Jardin des Gâteaux pendant les vacances de Noël!

"Le gui a la particularité de ne pas toucher terre. Il vous faudra donc lever la tête pour l’apercevoir dans certains fruitiers, mais aussi au faîte du peuplier, des aubépines, du sapin, du hêtre et bien sûr, du chêne. La propagation de cette plante considérée par les forestiers comme un véritable fléau est due le plus souvent aux grives et aux fauvettes à béret qui en sont friandes et qui, après digestion, répandent les graines d’arbres en arbres. Nous avons donc là un parasite ou plus exactement un hémiparasite car il produit sa chlorophylle et ses propres sucres. Mais tout de même, ça vous fatigue un arbre ! Dès que la température extérieure atteint 10°, la graine germe et se colle à l’arbre. La plante peut alors se développer grâce à son suçoir qui traverse l’écorce et atteint la sève dont elle se nourrit. Ses fruits sont ronds, blancs et visqueux, d’où son nom latin Viscum album.
Remontons d’abord jusqu’à nos ancêtres les gaulois : C’est la sixième nuit du solstice d’hiver, la première de l’année celtique, la « nuit mère ». Un druide vêtu de blanc s’enfonce dans la forêt pour y cueillir le gui sacré du chêne avec une serpe d’or. Il le reçoit dans un drap de lin d’une blancheur immaculée (car il ne doit pas toucher le sol afin de conserver ses pouvoirs) tout en prophétisant « O Ghel an Heu » - traduisez « Que le blé germe ». Quelque peu déformée, cette expression aujourd’hui désuète s’était déjà transformée au Moyen âge en « Au gui l’an neuf ». Les gaulois qui, comme chacun sait, ne craignaient qu’une seule chose, c’est que le ciel leur tombe sur la tête, attribuaient donc à cette plante, outre ses vertus médicinales, des pouvoirs magiques. Le gui chassait les mauvais esprits, purifiait les âmes, neutralisait les poisons et assurait la fécondité des troupeaux. Autre lieu, autre légende, en Scandinavie cette fois. Le démon Loki, par jalousie, tua le dieu soleil Baldut (ou Balder) lui décochant une flèche empoisonnée avec du gui. Preyla, déesse de l’amour, implora les dieux de redonner vie à Baldut, promettant alors d’embrasser quiconque passerait sous le gui. Evidemment, Baldut ressuscita. De cette légende naquit la coutume du baiser sous le gui, dès lors symbole de l’amour et du pardon. Notons au passage que Wagner aurait trouvé là une source d’inspiration pour sa célèbre « tétralogie ». On peut préférer cette version, galloise : Les trois filles du roi Gwydyr, étant promises à trois chevaliers en partance pour la guerre, se retrouvèrent sous un vieux chêne pour échanger des gages d’amour. Les plumes de paon offertes par les jeunes filles n’y suffisant pas, elles accordèrent un baiser à leurs fiancés."

Texte envoyé par Chantal Mora pour les jardiniers du Jardin des Gâteaux.

UNE BONNE ANNÉE A TOUS!!! De la part de Chantal Mora!!!

jeudi 3 janvier 2013

Des mangeoires pour nos amis les oiseaux









Le 20 décembre dernier, quelques élèves de 6ème (option Sciences et Nature) accompagnés de M. Vall ont installés des mangeoires dans le collège. Ces mangeoires, fabriqués par les sixièmes de l'année dernière, vont permettre aux oiseaux de se nourrir pendant l'hiver. On les a remplis de graines ce qui leur apportera beaucoup d'énergie. 

Merci M. Vall ! 

Et bonne année à tous !!!


Mme Guilbert